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Bonjour cher Monsieur,

Merci pour votre suggestion surtout à propos du Cegesoma.

En fait la date précise importe peu.

C'est l'identification du groupement de résistants qui est à retrouver : probablement basé
dans les environs de Tirlemont et actif en matière d'actions de sabotage ?

Ce faisant, ces résistants appliquaient les instructions reçues de Londres : par des sabotages de voies ferrées, paralyser au maximum tous les déplacements de l'armée allemande (comme cela s'est produit d'ailleurs en Normandie notamment avec une division blindée SS qui ne serait pas parvenue à rejoindre la ligne de front).
Vers la mi-1943 ou début 1944 ?

Ligne Liège - Bruxelles, à hauteur de Gingelom - Tirlemont.

Une action de la Résistance a fait dérailler un train se dirigeant vers Bruxelles rempli notamment de permissionnaires de l'armée allemande. Les faits ont eu lieu la nuit.

Il y aurait eu tellement de victimes que les corps auraient été empilés dans les souterrains de la gare en un premier temps.

Ces faits m'ont été révélés il y a plusieurs années par Marie Jadoul ("Minoucha"), compagne à l'époque de mon père, René Ponty ("22.04").

Tous deux agents d'EVA, ils se trouvaient à bord de ce train car rentrant de mission dans la région de Liège, à Strivay (Neupré).

C'est là qu'ils s'étaient entretenus avec le père dominicain Roger Barras qui, tout en étant le desservant de la chapelle de Strivay, était également aumônier de la section locale de l'A.S.(Armée Secrète) et bénéficiait ainsi d'un soutien financier provenant des dirigeants de Cockerill-Ougrée Marihaye.

Croyant d'abord à une action d'un groupe armé, les militaires allemands ont braqué des projecteurs et tiré des salves de mitrailleuses au hasard ...

Les deux agents d'EVA n'ont eu la vie sauve qu'en fuyant dans la campagne environnante et ainsi éviter d'être considérés comme complices ou pris en otages, d'autant plus que dissimulés dans une valise à double fond, ils transportaient des documents, des fonds et des fausses cartes d'identité destinées aux nombreux travailleurs réfractaires au travail obligatoire en Allemagne.

Existe-t'il des traces de cet événement ?
Merci d'avance pour toute information.
Oui, le stalag Ia est bien celui de Stablack.

Grâce au DGHR, j'ai encore d'autres pistes à explorer.

Merci pour votre suggestion de contacter la FNAPG de Namur : je n'y avais pas songé !

J'attends encore quelques jours avant de reprendre la chasse.

"Je reviendrai" (Douglas Mac Arthur)
Bonjour,

Une partie des renseignements publiés provient de la réponse reçue du DGHR.
Parmi les autres sources, l'organigramme de l'armée belge de 1940, notamment.

Quant au 13è de Ligne, aucun résultat actuellement quant au rôle joué par le 63ème Bataillon.

Les terribles événements concernant Boulogne-sur-mer et Calais ont fait l'objet de plusieurs publications : il y est parfois fait mention de la présence de militaires belges mais sans autre précision.
Compréhensible vu les circonstances et le fait qu'il s'agit de publications françaises.

D'autre part, grâce à la copie d'une page du registre des entrées du Stalag IA (reçue du DGHR), j'ai découvert que lors de son inscription, le 3 juillet 1940, René Docq était notamment accompagné d'Auguste Ernoux.

Le dit Ernoux, natif de Sautour (Namur), lui aussi soldat au 63ème Bataillon a été fait prisonnier en même temps que René Docq, ce qui permet de penser qu'ils étaient dans la même compagnie voire le même peloton ?

Si cela vous rappelle quelque chose . . .





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